Participants : Lucie, Titouan, Céline, François et Philippe
Dimanche 16 novembre
Il fait un temps épouvantable depuis plusieurs jours. Ce dimanche est à peine mieux mais le besoin de bouger est le plus fort. Impossible d’aller sous terre sans prendre, a minima, une douche avant d’arriver à l’entrée. Puis, il nous revient à l’esprit que nous avions tous vu une belle source apparaître dans les pentes de la tête de Vène.
Nous enfilons les bottes et les cirés, direction : Montmaur. Sur place, le temps est beaucoup plus clément que prévu. Toujours gris, le ciel s’est arrêté de pleurer. L’accès n’est pas simple. Nous finirons par suivre la limite de deux propriétés pour atteindre les pentes qui nous intéressent. La montée est rude, glissante et encombrée de blocs instables. Mais tout le monde parvient à moindre mal à destination. La déception est grande car le faible ru aperçu du pied de la montagne n’est qu’un cours d’eau de combe qui passe sous un éboulis pendant quelques dizaines de mètres. Il n’y a pas de grotte là !