La Pierre Saint Martin en septembre.

Participant : François

Cette année 2022, un seul séjour à la PSM, la dernière semaine de septembre. La pluie m’accompagnera pendant tout le trajet et durant toute la semaine.
Nous commencerons les explos par une perte abandonnée dans les années 90, car un veau mort obstruait le passage vers -40 et empestait tellement que l’explo s’est arrêtée là. Elle fut reprise cette année par notre groupe. Le veau avait disparu. Cet été, l’explo s’est arrêté vers -90, par manque de corde.
En septembre, la première reprend, sans désobstruction, avec P12, P19, P27, P12, R3, R3 et P14 avec arrêt par manque de corde. Le lendemain après un P10, c’est le très beau P73 ; pour arriver sur un belle salle toute noire de calchiste à -208m.

Départ du P73. Photo : Marcel Courbis


La suite est toujours là, avec le départ d’un autre puits. Un cailloux jeté dans le puits, met 7 secondes avant de taper. Ce qui correspond à environ 150m… L’explo a aussi continué dans la perte des feuilles. Sur la même ligne que la perte du veau et à deux minutes de la route. Là, c’est étroit et il faut casser et sortir des seaux et encore des seaux pour avancer. Nous avons fait -7 et arrêt vers -20 sur étroiture avec courant d’air.
Ceux qui restait au refuge, ont ramassé plein de champignons pour le grand bonheur de nos apéros.
Pour moi, la PSM est toujours une belle aventure. Même s’il pleut tout les jours.
La suite aux vacances de la Toussaint.

La salle dans le calschiste à – 208 m. Photo : Marcel Courbis