Participants : Johana Feuillassier, William, Eric Ducros, François Parrini et Philippe Bertochio
Dimanche 9 mars
Nous avons commencé par une belle randonnée en raquette pour gravir la Barre de Céuze depuis la station. La neige, bien transformée, n’a opposée aucune résistance. Sur la barre, nous avons marqué plusieurs petits trous souffleurs sûrement en relation avec des fissures de la falaise à quelques mètres.
Arrivés à pré Chabert, nous avons pris le temps d’un pique-nique agréable sous un pin, dans l’herbe sèche. C’est ensuite que les choses sérieuses ont débuté. L’objectif étant la topographie de la cavité éponyme, armés de crayon, carnet et autres instruments de mesure, nous entrâmes dans l’antre noir et froid. Les modestes dimensions nous ont permis de ne pas y passer un temps trop long.
Creusée à la faveur d’un décollement de la falaise, cette faille se caractérise par des galeries très instables. Chaque pas, chaque main posée, doivent l’être avec de grandes précautions. Cette cavité ne présentant pas beaucoup d’intérêt sinon d’être là, mieux vaut éviter de la fréquenter de trop au risque de tester violemment le casque…
